Ce cycle a été écrit par l’une des légendes de la SF, je m’y suis donc penché avec avidité. Les 4 tomes représentent quelques 2.400 pages bien resserrées et cela m’a pris un certain temps.
J’ai d’abord été impressionné par le travail de planification, le style, mais certains effets prévisibles m’ont gêné et la propension de Peter Hamilton à décrire longuement m’a parfois poussé à faire de grands sauts dans ma lecture (je n’ai pas lu un tiers du dernier tome)…
Cela reste un excellent bouquin malgré tout et j’hésite à lire le cycle suivant !
Jean-Baptiste Pratt