L’auteur évoque la « fin » de vie de Scott Carey, haut de trois centimètres et vivant dans la cave de sa maison après s’y être trouvé piégé. Il est poursuivi par une araignée qui représente le danger de cette vie, sa crainte profonde d’affronter la réalité de son existence ; elle est aussi au cœur de la vie de Scott dans la cave, jusqu’aux dernières pages du livre.

Après ce passage dans son existence présente, premier flashback, alors qu’il se rend compte qu’il a perdu 10 centimètres. Le livre alterne entre le quotidien de Scott, et comment il a rapetissé, ses sentiments et les conséquences que cela a eu pour lui et son entourage. Avec beaucoup de justesse, si on peut le dire d’une situation si improbable.

La fin ne m’a pas vraiment surpris, je l’imaginais depuis les premières pages, mais cela n’a en rien gâché mon plaisir !

Jean-Baptiste Pratt