En attendant de déménager, je lis un livre sur le tour du monde à Montréal. Chaque pays a son propre proverbe local, je partage ça avec vous :
« On ne peut pas peindre du blanc sur du blanc, du noir sur du noir. Chacun a besoin de l’autre pour se révéler… » Proverbe africain.
« Qui chante, son mal enchante. Qui pleure, son mal augmente. » Proverbe portugais.
« Au pays de l’espoir il n’y a pas d’hiver. » Proverbe russe.
« Il n’y a que les grands buts qui forment de grands caractères. » Oleksander Dovjenko (pour l’Ukraine).
« Qui crée dans sa vie meurt en souriant. » Proverbe polonais.
« On devrait pouvoir dire qu’il n’arrive aux hommes que ce qu’ils veulent qu’il leur arrive. » Maurice Maeterlinck (pour la Belgique).
« Peu importe les conditions, il suffit de s’habituer à une nouvelle façon de vivre pour y voir son chez-soi. » Proverbe japonais.
« La langue est un sabre qui peut transpercer le corps. » Prince Yongsan (proverbe coréen).
« Ne croyez pas en ce qu’ils disent, croyez en ce qu’ils font. » Lao Tseu.
« La Terre est petite, on se reverra. » Proverbe thaï.
« Celui qui n’ose pas ne doit pas se plaindre de sa malchance. » Proverbe skri-lankais.
« Risquer sa peau chaque jour, c’est le prix à payer pour vivre libre. » Salman Rushdie (pour l’Inde).
« C’est notre regard qui enferme plus souvent les autres dans leurs plus étroites appartenances, et c’est notre regard aussi qui peut les libérer. » Amin Malouf (pour le Liban).
« Ce qui n’arrive pas dans l’année peut arriver dans la journée. » Proverbe turc.
« Mieux vaut se perdre que ne jamais partir. » Proverbe bolivien.
« L’Histoire n’est que l’incalculable impact des circonstances sur les utopies et les rêves. » Mariano Picón Salas (pour le Vénézuela).
« Toute culture naît du mélange, de la rencontre, des chocs. À l’inverse, c’est de l’isolement que meurent les civilisations. » Octavio Paz (pour le Mexique).
Voilà ! J’espère que vous avez apprécié ce voyage proverbial 🙂